À l’attaque du château !
Auteur(s): Giovanni Spadaro, Roberta Marchetta
Illustrateur(s): Valentina Moscon
Editeur(s): Don't Panic Games
Mécanisme(s): Combat
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Claire et la famille Meeple : 8/10
Que celui qui n’a jamais fait un château de cartes se
manifeste ! À l’attaque du château,
c’est exactement ça mais en plus organisé grâce à des règles d’attaque.
Chaque joueur prend un tapis de jeu afin de matérialiser l’emplacement de son
domaine. Il pose dessus les fondations de son château, puis il l’édifie à
l’aide des huit cartes Fondation de départ. Cette phase amuse beaucoup les
enfants (mais aussi les plus grands) car on peut laisser libre-court à son
imagination.
Dès que cette étape est achevée, la partie peut commencer. Un seul objectif : être le propriétaire du dernier château qui restera debout.
Le tour de jeu est facile à retenir : on pioche une carte Siège puis on exécute l’action inscrite dessus. Il y a huit actions possibles :
– la catapulte : on lance la carte sur l’un des châteaux adverses
– le trébuchet c’est la même chose mais on lance deux cartes simultanément
– la peste : on passe son tour
– les impôts : on retire deux cartes Fondation d’un bâtiment adverse
– la restauration : on pioche deux cartes Fondations pour améliorer ou réparer son château
– la croisade : chaque joueur retire une carte de son édifice pour la donner au joueur actif
– la faveur des Dieux : on prend la boîte de jeu que l’on place où l’on veut pour s’en servir de bouclier de défense
– le traité de paix : tout le monde pioche deux cartes Fondation pour renforcer son château
On est clairement dans un jeu d’ambiance doté de règles simplissimes adaptées à tous. La seule contrainte est le geste à effectuer pour lancer ses attaques avec les cartes : il faut que le coude soit sur la table, l’avant-bras perpendiculaire et que seul le poignet lance la carte. Qu’on se le dise, cette règle est presque impossible à faire respecter à des enfants !
Une chose est sûre, les enfants en redemandent mais il faudra réussir à gérer la frustration des premiers à perdre qui doivent regarder et attendre la fin de la partie. À l’attaaaaaque !
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