Xanadú
Soumettre votre avis | |
SwatSh: 6/10
Xanadu est un petit jeu de cartes tout simple qui me fait penser aux Bâtisseurs en moins beau 😉
Par contre, j’aime beaucoup la boite faussement abîmée 🙂
Le jeu est très simple puisqu’on distribue les cartes au hasard et qu’on peut les jouer de 2 manières:
-la première face visible pour obtenir les ressources que la carte procure
-la seconde face cachée sur une carte face visible. Il faut pour cela produire les denrées nécessaires. On peut placer plusieurs cartes face cachée sur une même carte afin de monter dans les échelons et de gagner des PVs. Vous voyez ci-dessous les PVs qu’on peut gagner indiqués à droite des cartes en face de chaque échelon.
C’est tout simple et soumis au hasard de la pioche. Il faut néanmoins bien réfléchir aux cartes qu’on a en main pour l’optimiser en décidant quelles cartes placer face visible et quelles autres face cachée. C’est simple et sympa mais, à ce jeu là, je préfère les Bâtisseurs.
___________________________________
Ren: 6/10
Attention chers lecteurs, je préfère vous prévenir immédiatement (afin de ne pas vous prendre en traître): cette chronique sera médiocre. Mais j’ai une excuse: Xanadu est le dernier jeu qu’on a testé à Essen, le dernier jour de notre périple. Genre il était 18h54, on avait déjà testé 182 jeux (plus tous ceux qu’on avait regardés…), les neurones étaient bouillants (2 durites pétées et 3 fusibles qui avaient déjà sauté), les yeux n’étaient plus en face des trous… bref les conditions étaient idéales. C’est une très mauvaise excuse, je sais, mais voilà, c’est tout ce que j’ai trouvé. Et je m’excuse par avance auprès des auteurs si je suis passé à côté de quelque chose.
Dans Xanadu on va jouer des architectes qui vont essayer de convaincre le Grand Khan que c’est vous le plus beau le plus fort, et que les autres ils sont moches, vilains et aussi pas beaux. Pour ce faire on va récolter des ressources pour construire des bâtiments, récolter des ressources pour construire d’autres bâtiments plus intéressants et enfin vendre des bâtiments pour récolter des sous. A la fin celui qui a le plus de sous gagne.
A son tour chaque joueur va, de mémoire (c’est là que l’aspect médiocre de la chronique commence, je ne me souviens plus à 100%), pouvoir construire un bâtiment en récoltant autant de ressources qu’il veut, et vendre un bâtiment. Pour construire un bâtiment, il suffit d’avoir les ressources nécessaires et de poser le bâtiment devant soi (on construit évidemment un bâtiment qu’on a dans sa main). Pour avoir les ressources nécessaires il faut poser des cartes (qui servent donc en même temps de monnaie d’échange, comme dans San Juan, Race for the Galaxy…) sur des bâtiments existants. En effet chaque bâtiment a un coût de construction, mais il produit aussi des ressources, à différents étages. Et plus on monte, plus il faudra payer de cartes (une par étage en fait). Astuce, tous les bâtiments sont disponibles pour tout le monde, on n’es pas limité à ses propres bâtiments.
L’autre action est donc de vendre un bâtiment, ce qu’on fait en le défaussant, et en recevant le nombre de pièces correspondant. Nombre de pièces qui variera en fonction du nombre d’étages déjà utilisés. Mais pas de manière linéaire. Donc un bâtiment pourra valoir plus avec seulement 3 étages utilisés que si il y en a 4 ou 5 utilisés. Donc il faut suivre ça de près, d’autant que les autres joueurs peuvent aussi utiliser vos bâtiments.
Après son tour on récupère une ou des cartes. Ou alors récupère-t-on seulement des cartes quand on passe ? (je ne me souviens plus exactement, la médiocrité continue)
Enfin (touche médiocre finale), je ne me souviens plus comment le jeu se termine, de mémoire c’est quand un joueur a vendu 5 bâtiments, mais sincèrement il est bien possible que ce soit une autre règle. (oui je sais, c’est lamentable une chronique pareille)
Voilà, tout est dit. Comme vous l’avez déjà compris chers lecteurs perspicaces, le jeu ne m’a pas laissé un souvenir impérissable. Il y a pas mal d’icônes différentes, ce qui fait qu’on passe beaucoup de temps à regarder chaque carte (y compris donc celles des adversaires) pour déterminer ce qu’on peut ou ne peut pas construire à son tour. Le déroulement du jeu n’est pas désagréable mais ne génère nullement un enthousiasme béat. Et, last but not least, les graphismes sont laids (je le répète pour la millième fois, dans ce domaine chacun doit se faire son opinion, car on ne discute pas des goûts et des couleurs. Ceci n’est donc que mon humble opinion).
Donc bof.
PS mais je réitère une dernière fois mes excuses auprès des auteurs si je suis passé à côté de quelque chose en raison de mon état d’ébrie… de fatigue avancée.
PPS et je vous réitère mes excuses, chers et fidèles lecteurs, vous qui êtes habitués au fin du fin de la chronique, au nectar, que dis-je, à la gelée royale en venant sur Vin d’Jeu. Mais bon voilà chacun peut avoir un jour sans, ça arrive hein!
___________________________________
Submit your review | |