Spring Meadow
Un peu comme Reiner Knizia s’était lancé dans une compulsivité magnaco dépressive autour de la mécanique des enchères avec plus d’une dizaine de déclinaisons, on a l’impression qu’Uwe Rosenberg montre les mêmes symptômes avec cette cinquième déclinaison du Tetris. Spring Meadow fait donc suite à Patchwork, Cottage Garden, Indian Summer qui améliorait un peu la mécanique et l’excellent A La Gloire d’Odin qui y apportait une grande profondeur comme seul Uwe peut le faire. Spring Meadow se positionne plutôt à la génèse. On a l’impression qu’Uwe a décidé d’épurer le plus possible le concept et est arrivé à...
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